Une soirée dans une grande maison, semblable (mais pas identique) à celle des parents. Il y a peut-être une dizaine de personnes ; dans le rêve je les connais toutes, mais je ne distingue que les visages de deux d’entre elles : l’une ressemble à M. et l’autre à A., du lycée.

Je veux séduire M. (elle lui ressemble physiquement, mais ce n’est pas elle). Toutefois quelque-chose m’en empêche. Elle se rapproche de moi, mais à chaque fois, accaparé par mes activités de bourré, je m’en éloigne.

On me retrouve, par exemple, dans le jardin devant un chevalet, en train de peindre façon Jackson Pollock en lançant des cartouches d’encre bleu sur la toile. Il est sept heures du matin et le jour est déjà levé. Je me plains d’être très fatigué.

Je romps également ma promesse de ne pas fumer en demandant des cigarettes à M., juste pour le plaisir d’échanger quelques mots avec elle. Finalement je ne fume pas les cigarettes, mais je me rends compte que cela ne change rien à l’affaire, car en avoir ce serait la même chose que de les fumer.

À la fin de la soirée, à force de faire le pitre sur mon chevalet, tout le monde s’ennuie et va se coucher. Frustré, je ne tarde pas à les suivre. Nous sommes installés dans des lits de camps, dans la Pièce Verte. Avant de dormir, M. et moi montrons à A. un jeu de plateau très complexe, où il faut trouver le sens de rotation d’un engrenage. A. dit qu’il adore ce genre de jeu, mais qu’à trop s’y plonger on est pris d’une « perte de sens ».