Mille kilomètres au moins de sable noir nourri des volcanismes du pays, c'est là, sur la côte pacifique, Monterrico, Iztapa, Port Quetzal – rouleaux d'une puissance inouïe qui vous fracassent contre la plage ; moiteur invraisemblable comme 35° à l'ombre toute l'année et bungalows ruinés ; il faut attendre le coucher du soleil, vers 18h quand le sable est assez refroidi, pour que les guatémaltèques s'installent sur la plage et profitent des couleurs du ciel – Monterrico haut lieu du tourisme guatémaltèque, et impossible de quitter des yeux non le soleil, mais ce point de terre noire qui n'en finit pas de s'effacer, au loin des mille kilomètres à l'intersection de l'océan et de la terre noire.
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