Nous sommes dans un pays étranger, dans une voiture. Je suis avec toute la famille. L’atmosphère est oppressante, mais mes parents sont confiants. Nous roulons sur l’autoroute, passons à travers une grande ville. Nous recevons deux ou trois avertissements menaçants, dont mes parents décident de ne pas tenir compte.
Plus tard, un tueur à gages force la voiture à s’arrêter et tue froidement mes deux parents (et mon frère ?). Je suis fou de douleur.
Dans le même pays, je suis à présent dans un bus touristique entouré d’étrangers. À côté de moi, quelqu’un qui ressemble à l’acteur Daniel Brühl se moque de ce qui vient d’arriver.
Nous nous battons sur un parking de supermarché tandis que, dans le bus, le reste des passagers se régale du spectacle. Beaucoup soutiennent Daniel Brühl et se moquent aussi de mes parents. Certains viennent lui prêter main-forte, le combat est alors de sept ou huit contre un. Mais je ne perds pas mes moyens. Surtout, je m’aperçois que mes adversaires sont, en réalité, lents et inoffensifs.
Nous nous battons à présent sur le toit d’un immeuble et dans les escaliers qui y mènent. J’enferme Brühl dans la cage d’escalier, de force, après l’avoir bien amoché.
Mais je crains les conséquences, les répliques de la baston.
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